(PFFF ! no 20200306) Alvin Lucier est assis dans une pièce différente de celle où le spectateur de l’oeuvre se situe. Il enregistre le son de sa voix parlée et la rejoue dans la pièce, encore et encore, jusqu’à ce que la résonance de la pièce se renforcent, de manière telle que toute semblance de parole sauf peut-être le rhythme soit détruit. Il considère cette activité non pas comme la démonstration d’un fait physique, mais comme une façon d’aplanir toute irrégularité que sa parole peut avoir.