(PFFF ! no 20190403) Julia Smartt [1] a compilé plus de 2000 énoncés de personnes mourantes, dont son père, Mort Felix. Avec Raymond Moody, elle a fait un site qui s’appelle the Final Words Project [2]. Au-delà du désir du surnaturel ou de la sagesse profondément creuse, étudier les derniers actes de langage paraît fascinant.
David Foster Wallace [3] suggère que notre appréhension pour la solitude ou l’intimité serait liée à notre hantise de la mort et que la littérature serait un moyen de l’exacerber afin de nous y préparer.
Le chat d’un gardien de phare serait responsable à lui seul de la disparition de plusieurs espèces d’oiseau de la Nouvelle-Zélande [4].
Afin de célébrer la mémoire des victimes récentes sur cette île [5], je vous enjoins de lire ce court exposé (en deux parties) de Juan Cole [6], un historien de l’Islam, sur certaines niaiseries qu’on peut raconter à ses dépens.
[1] https://www.theatlantic.com/family/archive/2019/01/how-do-people-communicate-before-death/580303/
[2] http://www.finalwordsproject.org/
[3] https://www.brainpickings.org/2013/09/12/david-foster-wallace-on-writing-death-and-redemption/
[4] https://www.thevintagenews.com/2019/03/25/species-extinct/
[6] https://www.juancole.com/2018/11/everything-harris-about.html